Réalisateur que tout le monde s’arrache, Stan a déjà une longue carrière derrière lui. A quatorze ans, il est guitariste de studio pour des groupes africains. A seize, il compose des musiques de films. A dix-huit, il réalise entièrement l’album de Doc Gynéco Peace Maker. Puis, tandis qu’il enregistre son propre album sous la houlette des Rita Mitsouko (album qui ne verra jamais le jour en raison du décès de Fred Chichin), il se passionne pour le studio et décide de devenir ingénieur du son. Tout en décrochant une double licence de musicologie et de physique, il assiste ainsi de grands producteurs américains lors de sessions Mix with the Masters à la Fabrique et travaille également aux Studio Plus 30. Là, il mixe une flopée d’albums, dont celui de Camille (Ilo Veyou), d’Uffie, Charles Schillings et Slove, trois artistes électro du label Pschent - lequel label sort régulièrement des compilations pour le café Costes. Puis il enchaîne avec Lillywood & the Pricks (The Fight et Shadows), Burning Peacocks (Love Reaction), Panthère, If The Kids (We are not your slaves), Theodore, Paul Gabriel (We won’t let you down), Camp Claude (Swimming Lessons) et bien d’autres. Dans sa cabine du studio Saint Germain, il a également mixé le dernier album acoustique du duo Brigitte, ainsi que les cordes de Christine & the Queens et Ibeyi, un groupe de filles US. Sa double nationalité franco-américaine facilite ses collaborations avec des artistes anglo-saxons, notamment Rob Simonsen, un compositeur de musiques de films dont Stan a mixé toutes les BO. Mais depuis plusieurs années, c’est avec la casquette de réalisateur que Stan s’investit dans divers projets, parmi lesquels, notamment, les albums de Mathieu Des Lonchamps (Polydor), d’Ana Zimmer, de Singtank, de Kazy Lambist, de Tess ou encore de Polo and Pan. Aussi à l’aise dans l’électro que dans la musique acoustique, il est le chaînon manquant entre ces deux univers qui bien souvent ignorent tout l’un de l’autre. Une aubaine, tant pour ceux qui rêvent d’enrober leurs chansons d’arrangements futuristes que pour les digital-natives qui fantasment à nouveau sur le son d’une guitare folk…
EXTRAITS MUSICAUX
Réalisateur que tout le monde s’arrache, Stan a déjà une longue carrière derrière lui. A quatorze ans, il est guitariste de studio pour des groupes africains. A seize, il compose des musiques de films. A dix-huit, il réalise entièrement l’album de Doc Gynéco Peace Maker. Puis, tandis qu’il enregistre son propre album sous la houlette des Rita Mitsouko (album qui ne verra jamais le jour en raison du décès de Fred Chichin), il se passionne pour le studio et décide de devenir ingénieur du son. Tout en décrochant une double licence de musicologie et de physique, il assiste ainsi de grands producteurs américains lors de sessions Mix with the Masters à la Fabrique et travaille également aux Studio Plus 30. Là, il mixe une flopée d’albums, dont celui de Camille (Ilo Veyou), d’Uffie, Charles Schillings et Slove, trois artistes électro du label Pschent - lequel label sort régulièrement des compilations pour le café Costes. Puis il enchaîne avec Lillywood & the Pricks (The Fight et Shadows), Burning Peacocks (Love Reaction), Panthère, If The Kids (We are not your slaves), Theodore, Paul Gabriel (We won’t let you down), Camp Claude (Swimming Lessons) et bien d’autres. Dans sa cabine du studio Saint Germain, il a également mixé le dernier album acoustique du duo Brigitte, ainsi que les cordes de Christine & the Queens et Ibeyi, un groupe de filles US. Sa double nationalité franco-américaine facilite ses collaborations avec des artistes anglo-saxons, notamment Rob Simonsen, un compositeur de musiques de films dont Stan a mixé toutes les BO. Mais depuis plusieurs années, c’est avec la casquette de réalisateur que Stan s’investit dans divers projets, parmi lesquels, notamment, les albums de Mathieu Des Lonchamps (Polydor), d’Ana Zimmer, de Singtank, de Kazy Lambist, de Tess ou encore de Polo and Pan. Aussi à l’aise dans l’électro que dans la musique acoustique, il est le chaînon manquant entre ces deux univers qui bien souvent ignorent tout l’un de l’autre. Une aubaine, tant pour ceux qui rêvent d’enrober leurs chansons d’arrangements futuristes que pour les digital-natives qui fantasment à nouveau sur le son d’une guitare folk…